Matériel

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Ce n’est pas aux femmes de payer leur crise !

Les femmes sont, avec les jeunes et les immigrée-s, la catégorie qui sera la plus touchée par la crise, au niveau économique, social et idéologique. Les femmes sont une variable ajustable aux besoins de l'économie capitaliste. Leur entrée sur le marché du travail salarié s'est beaucoup accrue pendant le boom économique après la seconde guerre mondiale. Mais, elles occupent toujours aujourd'hui, les emplois dits « féminins », souvent moins qualifi és, à  contrats cours et temps partiel imposé. Et l'égalité salariale n'est toujours pas là . Et en période de crise économique, non seulement les questions d'égalité salariale sont mises au placard, mais en plus, on les incite partiellement à  retourner au foyer pour faire des économies sur leurs dos. On creuse ainsi la division entre quelques femmes cadres qui auront un travail stable et un grand nombre de femmes précaires, souvent immigrées, qui travaillent à  leur service.

Affiche Rentrée 2009

Contre la réforme du lycée de Darcos/Chatel Arrêt des suppressions de postes Ni flics, ni flicage dans nos lycées TOUS EN GREVE !

4 pages étudiant – Rentrée 2009

Cet été, pas de pause pour les jeunes et les salariés qui continuent de payer le prix fort des conséquences d'une crise qui n'est pas la leur : entreprises qui ferment, licenciements, chà´mage mais aussi nouvelles mesures du gouvernement sur le travail le dimanche, suppressions de postes et rigueur budgétaire dans les services publics, privatisation de la posteè?¦ Alors que d'un cà´té le chà´mage explose avec 30 000 demandeurs d'emploi en plus rien que pour le mois de juillet, alors que des salariés continuent à  se battre même en juillet et aoà»t contre la fermeture de leur usine comme à  Molex, les bonus des actionnaires repartent à  la hausse !

Répression et mesures sécuritaires… Ca ne nous empêchera pas de lutter !

L'«ordre moral» ... Le proviseur du lycée Geoffroy-Saint-Hilaire à  Etampes a créé dans son établissement un laboratoire de l'encadrement de la jeunesse. Le règlement intérieur s'apparente presque à  celui d'une prison ou d'un couvent : interdiction des shorts, minijupes, épaules dénudées, jeans troués et des « comportements indécents », ce qui signifie notamment l'interdiction de s'embrasser en public ! A l'entendre, c'est à  peine croyable.

Le Poing Levé – n°6 – Septembre 2009 – Spécial Lycées Pro

Réforme des lycées et des bac pro : le gouvernement nous fait payer la crise ! L'Éducation rentre avec un nouveau ministre : le précédent a été déplacé, suite aux mouvements lycéens qui avaient eu lieu contre sa gueule... Et sa politique. La mauvaise nouvelle, c'est justement que cette politique va rester... Sauf si les lycéens en décident autrement !

Le Poing Levé – n°5 – Septembre 2009 – Spécial Réunion publique

Notre avenir est en crise! Il faut s'organiser pour résiter! Leur éducation et la nà´tre ! 35% : c'est la hausse du chà´mage des jeunes depuis juin 2008 ! Eh non, la crise n'épargne pas les jeunes ! Le gouvernement non plus d'ailleurs, avec ses attaques contre l'Éducation : baisses des budgets, casse des diplà´mes, financement privés... Une Éducation au service des entreprises, voilà  son projet !

Barricades n°1 – Septembre 2009

C'est leur crise, pas la nà´tre ! Interdiction des licenciements, un emploi décent pour toutes et tous ! Le bilan de cet été ne doit pas nous surprendre. Le flot de licenciements que les travailleurs subissent depuis le début de la crise ne s'est pas interrompu. Déjà  depuis l'arrivée de Sarkozy au pouvoir, les attaques contre notre camp social vont bon train : retour sur tous nos acquis sociaux, avec notamment le travail du dimanche et le fameux travailler plus pour gagner moins...

Février – Mai 2009 : Quatre mois de lutte dans les universités

Le 2ème semestre 2009 a connu un mouvement sur les universités exceptionnel par bien des aspects. Débuté le 2 février pour une partie des universités, la grève s'est poursuivie jusqu'à  juin pour toute une série de facs. La mobilisation est partie du secteur traditionnellement le moins combatif de l'enseignement : les enseignants-chercheurs. Mais au final, elle a touché toutes les composantes de l'université à  des degrés divers. A travers la longueur de cette mobilisation et devant ce gouvernement arrogant et décidé à  ne pas céder, une évolution des consciences s'est opérée notamment chez les enseignants-chercheurs qui n'avaient que très peu d'expérience de lutte. Quoi qu'il en soit la situation sur les universités a changé après cette mobilisation. Les liens entre les différentes composantes, notamment entre étudiants et enseignant, ce sont renforcés, les points de vue ont convergé sur l'analyse des réformes qui touchent l'université. Mais cette mobilisation n'a pas gagné. L'enjeu est donc de comprendre les forces et les faiblesses de cette mobilisation, et forts de ces bilans pouvoir engager de nouvelles batailles en se mettant en position de pouvoir les remporter.

La crise n’a pas pris de vacances ! [A4]

Partout en Europe, la logique des gouvernements consiste à  casser les services publics (santé, transport, services postaux, Éducation...). Les patrons essayent de réduire les salaires dans le privée, licencient sous prétexte que c'est la crise.

La crise n’a pas pris de vacances ! [4pages]

Partout en Europe, la logique des gouvernements consiste à  casser les services publics (santé, transport, services postaux, Éducation...). Les patrons essayent de réduire les salaires dans le privée, licencient sous prétexte que c'est la crise.

26ème Rencontres Internationales de Jeunes

Depuis 26 ans la Quatrième Internationale organise ces rencontres. Chaque année, le camp se tient dans un pays différent. C'est la première fois que nos camarades grecs accueillent le camp. Et cela tombe plutà´t au bon moment ! Cette année, la jeunesse grecque a déclenché une mobilisation sociale qui a fait peur aux classes dirigeantes européennes. La révolte de décembre dernier suite à  l'assassinat d'un jeune de 15 ans par les flics, a été le point de départ d'un affrontement avec l'État et d'une lutte contre ses politiques libérales. Et cette mobilisation de la « génération 700 euro » n'a pas eu de frontière. De plus en plus, nos luttes sont communes partout en Europe car les attaques et le projet de la bourgeoisie se décline de manière similaire dans les différents pays. Pour maintenir leurs profits face à  la crise, les patrons s'attaquent à  nos diplà´mes et à  nos qualifications et précarisent nos conditions de travail. Dans l'État Espagnol cette année une réforme vient de faire passer l'accès aux concours de l'enseignement de bac + 3 à  bac + 5... Partout également, la question de la construction de nouveaux partis anticapitalistes est à  l'ordre du jour. Les expériences sont multiples : Bloc de Gauche au Portugal, Sinistra Critica en Italie ou encore Izquierda Anticapitalista dans l'État Espagnol. Ce camp sera le moment d'échanger nos expériences de construction de ces partis, sur la place de la jeunesse... Le camp est le premier depuis la fondation du NPA. Il s'agit donc aussi d'une rencontre nationale qui doit nous permettre de préparer la rentrée prochaine. Nous prendrons également le temps d'avoir des discussions sur la CNJ et ses enjeux. Enfin les RIJ sont un moment particulier puisque nous nous efforçons que le camp soit à  l'image de notre projet de société. Dans le camp, comme dans le NPA, nous banissons toute attitude raciste, sexiste ou homophobe. De plus, toute une série de tà¢ches sont organisées collectivement comme le bar, le service d'ordre, le nettoyage du camp... L'idée est que chacun participe au bon déroulement et à  l'organisation de ces rencontres. Bien sà»r il ne s'agit pas de construire le socialisme dans un seul camping mais de chercher à  transcrire dans le cadre d'une semaine les idées que nous cherchons à  défendre au quotidien dans les luttes. Une série de décisions comme le programme par exemple sont nécessairement prises en amont pour permettre que le camp soit aussi un moment de détente agréable. En début de semaine, nous élisons aussi une série d'instances pour permettre au camp de se dérouler au mieux.