
Mineurs isolés : retour sur une jeunesse qui relève la tête
Article du n°23 de Révolutionnaires (28 novembre 2024)
Article du n°23 de Révolutionnaires (28 novembre 2024)
En 2023 le nouveau ministre de l’intérieur Retailleau chantait les belles heures de la colonisation française. Un an plus tard,…
Les poursuites intentées contre les lycéens du lycée Genevoix de Montrouge, après le blocage de leur lycée en solidarité avec…
Après deux ans de procédures engagées contre neuf militants de l’UNEF Nanterre à la suite de l’occupation des sans-facs de…
Ci-dessous un article de Marjorie LENHARDT, paru dans Le Parisien le 12 juillet 2024.
Mardi 2 juillet, près de 150 personnes se sont réunies à Marne-la-Vallée pour exprimer leur soutien face à la répression que subissent neuf militants de l’Unef-Nanterre, poursuivis pour avoir participé à l'occupation des sans-facs en 2021-2022.
Neuf étudiants et étudiantes, syndicalistes et élus de la fac de Nanterre seront auditionnés en section disciplinaire le 2 juillet.
Communiqué unitaire de la CGT, l’UNEF, l’Union Étudiante, la FIDL, l’USL, les Jeunes Insoumis, le NPA Jeunes Révolutionnaires, les Jeunes Écolos, les Jeunes Générations, le Poing Levé, la Jeune Garde, les Jeunes Socialistes.
Après l’interpellation de 88 étudiants de la Sorbonne mobilisés en solidarité avec la Palestine, dont l’un qui est resté plus de 78 heures en garde à vue, le gouvernement a durement réprimé des blocages et actions organisées par des lycéens qui sont rentrés dans le mouvement.
Des États-Unis aux Pays-Bas en passant par la France, le mouvement étudiant de solidarité avec le peuple palestinien subit une répression importante, expression du soutien de ces grandes puissances à la politique colonialiste du gouvernement israélien.
Hier, mardi 14 mai 2024, les lycéens du lycée Genevoix de Montrouge (92) ont décidé de bloquer leur lycée en solidarité avec le peuple palestinien, dans la continuité de la mobilisation en cours dans les facs, les écoles et les lycées.
Ce samedi, plusieurs centaines de militants d’extrême droite, identitaires, antisémites, racistes, néonazis, regroupés dans le “comité 9 mai” ont pu manifester dans Paris, après l’autorisation de leur manifestation. Une différence de traitement avec le mouvement de solidarité envers le peuple palestinien qui en dit long…