De la génération Palestine à la génération révolution : comment renverser le capitalisme ? [Tract lycées]

Nous sommes la génération qui a vu en Palestine un génocide en direct pour la première fois, mais aussi celle qui se révolte au Maroc ou à Madagascar. Celle qui refuse d’être mise au pas, qui ne veut pas aller à la guerre. Celle qui est prête à se battre pour un autre monde, débarrassé des guerres, des oppressions et de l’exploitation.

Agir pour la Palestine

Nous sommes révoltés par le génocide à Gaza. Désormais, il y a un cessez le feu, mais qui peut dire que c’est fini ? 2 ans de guerre, 65 000 morts, 90 % des habitations détruites. Netanyahou veut poursuivre son projet sioniste et accélère la colonisation, soutenu par les États-Unis et l’Europe dont la France.

Les États, les institutions ou le droit international ne vont pas sauver les Palestiniens. L’ONU, la cours de justice internationale, le parlement européen : ils sont complices. Ils n’ont pas mis fin au génocide, et ne vont pas mettre fin à l’oppression coloniale.
Ne comptons que sur nous-même, dénonçons les États coupables, les institutions silencieuses et les marchands de canons qui signent des contrats et s’enrichissent sur la mort des pauvres.

Contre les États au service du patronat…

En France, grotesque spectacle que nous offrent les partis qui prétendent au pouvoir. Tous sont prêts à gouverner et à intensifier la guerre sociale au prétexte de la dette. Mais tous ont peur des conséquences électorales. D’où le blocage : le grand patronat, la classe qui dirige vraiment la société, veut poursuivre son offensive anti-sociale, quoi qu’il en coûte aux politiciens qui prétendent représenter la population.

Mais la démocratie n’est pas dans les institutions. La réforme des retraites, Macron, l’austérité, le génocide à Gaza ? La grande majorité de la population est contre !

… Que se propage le vent de la révolte !

En une semaine de mobilisation, la jeunesse marocaine a fait flancher un État autoritaire qui semblait invincible. Au Népal, à Madagascar, la contestation a fait tomber des ministres et des gouvernements.

Si les révoltes peuvent faire chuter les régimes, une révolution peut construire un autre monde, débarrassé du capitalisme, des classes sociales et des inégalités.

Pour faire sortir les crises politiques des impasses institutionnelles, pour bâtir un monde sans frontières ni patrons, viens discuter des idées communistes et de comment s’organiser pour changer le monde !