Le problème ne sont pas les abayas, mais le gouvernement et sa politique !
Si la précédente rentrée des classes avait été marquée par la dénonciation du recours aux enseignant.e.s contractuels recrutés après quelques minutes d’entretien, cette année le gouvernement a anticipé les critiques sur le manque de moyens, les établissements délabrés, les salaires…